alcool coaching

Les 10 signes avant-coureurs de l'alcoolisme à surveiller de près

Vous vous demandez si votre consommation d’alcool est encore raisonnable ou si vous avez déjà un pied dans l’alcoolisme ? Pas de panique, notre quiz décalé va vous aider à faire le tri entre le bon vivant et le poivrot en devenir. Attachez votre ceinture (et rangez la bouteille), ça va secouer !

 

L’apéro commence de plus en plus tôt

Si vous guettez fébrilement la petite aiguille pour savoir s’il est enfin l’heure de déboucher le rosé, méfiance. Surtout si 16h vous semble un bon compromis. L’alcoolisme adore jouer avec les horloges !

 

Votre recyclage de bouteilles rivalise avec le tri sélectif municipal

Vous remplissez votre bac à verre plus vite que Lucky Luke ne dégaine ? Votre voisin vous demande une consigne ? Il est peut-être temps de lever le pied sur la picole. La planète et votre foie vous remercieront.

 

Vous avez plusieurs « caves à vin » secrètes

Sous le lit, derrière les conserves, dans la machine à laver… Si vous planquez vos bouteilles comme un écureuil ses noisettes, c’est louche. Un vrai connaisseur assume ses grands crus !

 

Vous connaissez la carte des bars mieux que Google Map

Vous avez un doctorat es happy hours, tournées générales et autres gueuletons éthyliques ? Gare à ne pas devenir plus accro au comptoir qu’à votre canap’ !

 

Vos excuses pour boire deviennent très créatives

« Je trinque au réchauffement climatique », « J’arrose la saint Glinglin »… Si vos prétextes puent l’alcool à plein nez, c’est que votre subconscient essaie de vous dire quelque chose. Tendez-lui un verre d’eau !

 

Vos amis vous surnomment « Pochtron » ou « Biture »

Méfiez-vous des petits noms affectueux qui sentent le coma éthylique. Même dit avec humour, ça cache souvent une inquiétude sincère. Écoutez vos proches, ils vous veulent du bien (à moins qu’ils ne soient aussi bourrés que vous).

 

Vous ne comptez plus les « trous noirs »

Tiens, comment s’est finie cette soirée déjà ? Si votre mémoire part régulièrement en vacances dès le 3ème verre, c’est que votre cerveau vous envoie un SOS. Répondez-lui avant le black-out total !

 

Votre avocat est dans vos favoris

Tapage nocturne, ivresse sur la voie publique, conduite en état d’ébriété… Si votre casier judiciaire commence à rivaliser avec votre ardoise au troquet du coin, il est grand temps de remettre de l’ordre dans vos priorités. La prison, c’est pas le Club Med !

 

Vous avez essayé d’arrêter mais…

« J’arrête demain », « Juste un dernier pour la route »… Si vos tentatives de sobriété virent au running gag, ne riez plus. C’est le signe que la volonté ne suffit pas et qu’il faut passer à la vitesse supérieure (sobre la vitesse).

 

L’alcool n’est plus drôle du tout

Vous buvez plus par nécessité que par plaisir ? L’humour et la légèreté ont foutu le camp de vos beuveries ? C’est le signal d’alarme ultime. L’alcool est en train de grignoter votre joie de vivre. Ne le laissez pas faire l’apéritif de votre santé mentale !

 

Conclusion

Alors, plutôt bon vivant ou alcoolo en sursis ? Si vous avez coché plus de 3 cases, ne vous voilez pas la face : votre meilleur pote s’appelle Ricard et il est temps de lui faire comprendre que c’est une amitié toxique.

Mais rassurez-vous, le reconnaître, c’est déjà un grand pas vers la guérison. Le plus dur reste à faire : transformer l’essai, changer ses habitudes, réapprendre à vivre, rire et kiffer sans le truc qui fait « glou glou » dans le gosier.

Heureusement, vous n’êtes pas seul ! Il existe tout un tas de gens bienveillants et compétents pour vous épauler dans cette grande aventure de la sobriété : médecins, addictologues, groupes de parole, assos, blogs…

Alors hauts les cœurs et les verres (d’eau pétillante) ! Votre plus belle vie sans alcool est à portée de main. Et croyez-moi, ça vaut bien tous les cuites du monde. Santé !